Jeton en cuivre daté de 1601 représentant d’un côté Marcus Curtius et de l’autre Caius Popillius Laenas immobilisant le roi Antiochos IV Épiphane dans un cercle. (Suite…)
Mlle Charlotte-Adélaïde attendait patiemment dans le couloir qui jouxtait le petit salon de la sibylle. Elle avait bravé les effroyables intempéries de ce mois de mai 1816 pour consulter la dame qui habitait là.
Elle était impressionnée par la réputation de l’occupante du 5 rue de Tournon (sur la Rive Gauche près de l’Odéon), tout le monde en parlait en bien. On chuchotait même que Joséphine de Beauharnais avait été sa cliente. (Suite…)
Je ne m’attendais pas à trouver les collections d’Élie sur le marché.
Après tout, son enterrement ne datait que de 15 jours, mais le propriétaire de son logement voulait relouer rapidement et Élie n’avait pas de famille. Finalement, nous sommes peu de choses, dans un an au plus personne ne se souviendra de lui… (Suite…)
Hiver 1940/41, le 11 novembre 1940 (pour être précis) Kirkenes au nord de la Norvège occupée, dans le cercle polaire arctique.
Les membres de la Wehrmacht – (der “Fünf – probablement la Luftflotte 5 (ou le Jagdgeschwader 5* en devenir) – fêtent Fasching, le carnaval. Le froid est intense et mordant, mais ça ne les empêche pas de faire la fête. Certains soldats, déguisés en “sauvages” et montés sur leurs skis, prennent la pose avant de rejoindre la parade, lorsqu’un étrange personnage, très grand et l’air peu commode, les rejoint… (Suite…)
Dans la mythologie nordique, le collier des Brísingar (Brísingamen ou Brísinghamen en vieux norrois) est le collier de la déesse Freyja.
On dit que le roi des Nains, Alberich le lui donna.
Tom (Davies) joue de la guitare depuis le début des années 1960. En 1965, le 10 mai pour être exact (jour de son anniversaire), il exerce son art dans les rues de Londres pour se faire un peu de blé. Il n’y a pas beaucoup de passage et peu de gens lui donnent une pièce, Pourtant, il ne manque pas de talent et joue les airs à la mode.
Une émission à la télévision montrait une animation pour la fête de Saint Nicolas au musée de l’Afrique de Tervuren, dans laquelle on avait remplacé le Père Fouettard par un pseudo-évêque africain. Les gens se félicitaient de cette heureuse initiative. Le politiquement correct prenait des proportions insoutenables pour un historien qui tâchait de garder des traditions ancestrales. (Suite…)