SPIRITISME – Victorien SARDOU – Gustave GEFFROY [1855-1926 / Journaliste et critique, un des 10 membres fondateurs de l’Académie Goncourt, ami de Claude Monet].
Manuscrit écrit et signé de sa main, 3 pages in-8 en longueur, très denses, avec ratures, corrections et indications de mise en page en vue de parution.
Fait par Ordre du Roy. de Pitton de Tournefort.(édition de Lyon, 1717)
Premier témoignage d’un rituel apotropaïque contre un Vroucolacas (vampire) sur l’île de Mycone (Mykonos) en janvier 1700 et un peu avant. Le texte décrit toutes les tentatives pour se débarrasser d’un mort récalcitrant, qui provoque une panique telle que les habitants sont prêts à déserter l’île plutôt que de devoir la partager avec un revenant. Le témoignage de Tournefort précise aussi que les Papas (prêtres Orthodoxes) hésitent à exhumer puis enterrer à nouveau le corps, à cause des taxes qu’ils vont devoir payer, soit à leur supérieur, soit à l’occupant Ottoman.
Inv.SRS/se-02143 Sin Eater / Sinne Eater Le Mangeur de Péchés Origine : Angleterre (Pays de Galles, Cornouailles) – Belgique Acquisition dans les années ’80, cet objet est longtemps resté dans le Dpt des Quarantaines
Go maire tú an céad … agus bliain aithri ! Que tu vives cent ans … et une autre année pour faire pénitence. (Proverbe irlandais) (Suite…)
A une époque où la médecine en était encore à ses balbutiements, l’astrologie médicale jouait un rôle prépondérant. Les astres influaient sur les humeurs et le corps humain subissait l’influence des planètes. Comme le dit si bien Molière dans sa dernière pièce, Le Malade Imaginaire, « Clysterium Donare, Postea Saignare, Ensuita purgare » résumait la pratique médicale de l’époque. (Suite…)
Document en provenance d’Anvers signalant que le porteur (le même que pour la Patente Nette – Nicolas Gons) a reçu tous les traitements sanitaires nécessaires ainsi que la Communion Pascale, en l’Hôpital Saint Julien – dépendant de la Congrégation de Notre Dame de Lorette – des Carmélites – et des évêques.
Ce document est une patente de santé (patente nette) émanant de la Ville de Rome (Almae Urbis) en 1770, garantissant que le porteur est non infecté par la Peste. Etabli par un important édile, le Conservateur de la Santé.. (Suite…)
Source : Bibliotheca TeWaterana: sive catalogus librorum selectorum …, Volume 2
Théoriquement parlant, cette médaille est censée contenir un fragment de Pierre Philosophale, puisque fabriquée à partir de “l’or” obtenu lors de la transmutation. Elle n’est toutefois pas en or pur. Pratiquement, il s’agit d’un jeton de compte fabriqué à Anvers qui célèbre un évènement particulier: ici, la réussite d’une transmutation alchimique de van Helmont, l’année précédent la création du jeton, donc 1616.
Talisman du XVIe ou XVIIe siècle, en alliage plomb/cuivre, de protection contre le peste et les maladies en général. Dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert de 1751 (et également dans le Dictionnaire Infernal… de Collin de Plancy – 1825/26) on explique.