Ce tambourin “sorcier” (chovihanescro bûklo) et les pièces divinatoires proviennent de l’ensemble Prikaza (coffre de Darabardi/Drabarni/Sorcière) du Surnatéum.
Quoique que les romanis n’utilisent pas particulièrement la divination entre eux, ils en font une excellente activité lucrative auprès des «gadjés». (Suite…)
Pour des raisons de vie privée, les prénoms des protagonistes de cette histoire ont été changés.
1975
Maurice et Joseph sont frères.
Ils habitent dans les environs de Waterloo, pas loin des lieux où Napoléon fut défait en 1815. Maurice a douze ans et son cadet, huit. En cette belle journée ensoleillée de mi-juin, ils longent le Chemin des Vertes Bornes pour affronter les Vandewaele (Paul et Pierre) leurs amis, mais toutefois adversaires de toujours au jeu de billes. De la route, on aperçoit assez nettement la Butte du Lion. (Suite…)
Le médium était concentré
L’assistance était convulsée
La table soudain, a remué
Et l’esprit frappeur a frappé.
C’n’est qu’le p’tit bout d’la queue du chat
Qui vous électrise,
C’n’est qu’le p’tit bout d’la queue du chat
Qui a fait c’bruit là.
Non, l’esprit n’est pas encor’ là
Unissons nos fluides
Et recommençons nos ébats
Que le chat gâcha.
Jeton en cuivre daté de 1601 représentant d’un côté Marcus Curtius et de l’autre Caius Popillius Laenas immobilisant le roi Antiochos IV Épiphane dans un cercle. (Suite…)
Talisman (Bref ou Bréviaire) en parchemin du XVIIIe siècle écrit en vieux flamand pour se protéger du Feu, de la Peste (Peste de Feu ou Feu de Saint Antoine, l’ergotisme, mal des ardents) et des Magiciens (sorciers, sorcellerie). Il invoque la Vierge Marie, Jésus Christ et saint Antoine de Padoue. J’ai transcrit du mieux que je pouvais le texte manuscrit. Le talisman protège donc simultanément de la “Peste de Feu”, de la Peste, et des Incendies.