Mlle Charlotte-Adélaïde attendait patiemment dans le couloir qui jouxtait le petit salon de la sibylle. Elle avait bravé les effroyables intempéries de ce mois de mai 1816 pour consulter la dame qui habitait là.
Elle était impressionnée par la réputation de l’occupante du 5 rue de Tournon (sur la Rive Gauche près de l’Odéon), tout le monde en parlait en bien. On chuchotait même que Joséphine de Beauharnais avait été sa cliente. (Suite…)
Je ne m’attendais pas à trouver les collections d’Élie sur le marché.
Après tout, son enterrement ne datait que de 15 jours, mais le propriétaire de son logement voulait relouer rapidement et Élie n’avait pas de famille. Finalement, nous sommes peu de choses, dans un an au plus personne ne se souviendra de lui… (Suite…)
Dans la mythologie nordique, le collier des Brísingar (Brísingamen ou Brísinghamen en vieux norrois) est le collier de la déesse Freyja.
On dit que le roi des Nains, Alberich le lui donna.
En 1970, monsieur X fait des travaux d’agrandissement d’une maison dans les environs de York (Angleterre). En creusant, il trouve les reliques d’une tombe viking du Xe ou XIe siècle. Il semble s’agir des restes d’une tombe-chambre (chamber-grave) d’environ 5m/3m/1.5m, partiellement effondrée. La découverte le surprend car les tombes vikings de ce genre sont extrêmement rares en Angleterre et celle-ci semble être la seule aux alentours. A cette époque, l’intérêt pour ce sujet est minime* et personne n’effectue des fouilles à York (anciennement Jörvik). Toutefois, il montre sa trouvaille à un ami. Il ne reste pas grand chose du corps qui y repose, mais quelques objets attirent leur attention:
Une émission à la télévision montrait une animation pour la fête de Saint Nicolas au musée de l’Afrique de Tervuren, dans laquelle on avait remplacé le Père Fouettard par un pseudo-évêque africain. Les gens se félicitaient de cette heureuse initiative. Le politiquement correct prenait des proportions insoutenables pour un historien qui tâchait de garder des traditions ancestrales. (Suite…)
There is an old tale goes, that Herne the Hunter (sometime a keeper here in Windsor Forest) Doth all the winter-time, at still midnight Walk round about an oak, with great ragg’d horns; And there he blasts the tree, and takes the cattle, And makes milch-kine yield blood, and shakes a chain In a most hideous and dreadful manner. You have heard of such a spirit, and well you know The superstitious idle-headed eld Receiv’d, and did deliver to our age This tale of Herne the Hunter for a truth.
— William Shakespeare, The Merry Wives of Windsor, Act 4, scene 4
Le 2 août 1876, Wild Bill Hickok entre dans le saloon Nuttal & Mann’s, appelé également saloon n° 10 de la ville de Deadwood dans le Dakota du sud. La ville se trouve en territoire indien et attire les chercheurs d’or qui veulent faire fortune.