Les médaillons de cheval en laiton sont les ornements d’une tradition qui semble remonter aux Roms/Gitans depuis la fin du dix-huitième siècle mais qui devient populaire, particulièrement en Grande Bretagne, après les guerres napoléoniennes, particulièrement entre 1860 et 1914. (Suite…)
Parabaik (livre accordéon) Birman/Myanmar (probablement ethnie Shan) listant des tatouages à caractère magiques (propitiatoires, apotropaïques). Les tatouages se font à l’aide d’épaisses aiguilles appelées Hnitkwasoks (mot parfait pour le scrabble) et sont extrêmement douloureux, d’où l’usage de l’opium pour supporter l’opération. Il faut entre 3 et 6 jours pour un tatouage. Les jeunes (futurs) moines se font tatouer entre 8 et 14 ans.
Le Surnatéum a (une fois de plus) le plaisir de prêter 4 objets de ses collections à l’exposition “Magique” qui aura lieu au musée des Confluences de Lyon du 15/04/2022 au 31/03/2023.
La passoire semble n’être qu’un banal instrument ménager. Mais dans certaines traditions (romani, gitans, serbes, grecques, turques…) elle peut avoir un fonction apotropaïque. (Suite…)
Cette relique est très rare. Il s’agit d’une brique de fermeture de la Porte Sainte de la Basilique Saint Pierre (San Pietro) à Rome. Cette brique porte l’inscription RSFP (Reverenda Fabbrica di San Pietro/Reverenda Fabrica Sancti Petri) et le blason de la congrégation qui s’occupe de l’entretien de la basilique Saint Pierre à Rome. (Suite…)
Traduction en français d’un exorcisme grec publié dans Louis Delatte, Un Office Byzantin d’Exorcisme (publié par Bruxelles, Académie Royale (1957). (Suite…)
Si la quasi-totalité des “Vampire Killing Kits” – ou coffrets de chasseur de vampires – que l’on trouve à profusion sur internet et sur les sites de vente aux enchères sont des faux notoires de bas niveau, il arrive parfois que l’on trouve de l’authentique. (Suite…)
Carnet de croquis d’un costumier de théâtre de la seconde moitié du XIXe siècle (Troisième République). Il s’agit des dessins préparatoires pour les costumes de la pièce des Trois Mousquetaires, tirée du roman d’Alexandre Dumas père (et Auguste Maquet). (Suite…)
Ce pistolet miniature autrichien pour prostituées est une rare trouvaille. On lui donne ce nom inhabituel depuis l’époque de Jack l’éventreur (1888) – avant cette époque, ils étaient appelés pistolets pour dames.
Il utilisait une cartouche minuscule à broche. Lorsqu’il était utilisé, ce pistolet donnait l’équivalent un coup de poing et donnait aux femmes le temps de courir pour sauver leur vie dans une situation dangereuse. Si on glissait une épingle dans le canon, l’arme pouvait tuer l’agresseur en transperçant le cœur.