Petites amulettes populaires

 

 

– Il Gobbo, le Bossu, est une amulette italienne (vers 1950), la tradition de frotter la bosse d’un bossu est depuis longtemps considéré comme portant la chance.

– Le Fer à Cheval est une amulette apotropaïque dont le pouvoir est renforcé par la présence de 7 trous: le fer lui-même chasse les fantômes, la forme en croissant rappelle la lune/Diane qui comme ses formes Hécate et Séléné éloignent les mauvais esprits. Idéalement le Fer à Cheval doit être présenté ouverture vers le haut. Dans l’autre sens, la chance se déverserait en dehors.

 

– La Hamza est une amulette apotropaïque que l’on retrouve principalement au Sud de l’Europe et en Afrique du Nord, parfois nommé Main de Fatima – le Fille du Prophète. Le nombre 13 favorise la Chance, pour le croissant de Lune voir ci-dessus.

 

– le Gland (ici un porte dé à coudre, est une amulette protectrice contre la Foudre. Le chêne étant l’arbre lié à différentes divinité de la foudre comme Zeus, Jupiter, Taranis, Taranaich, Thor…

 

– Dominos portant 7 points, favorise la chance au jeu, le chiffre 7 étant porte bonheur

 

– Amulette hébraïque, protection hébraïque dont le texte est assez incompréhensible.Le Corail rouge représente le sang de Méduse qui se figea en coulant dans la mer, une tête de Gorgone est un apotropaïque traditionnel.

 

– le Crâne en ivoire provenant d’un crucifix (et représentant le Crâne d’Adam) est une protection contre les mauvaises morts et les accidents.

 

– La Mano Figa est une amulette apotropaïque contre les revenants. Ce geste d’apparence grossier, la figue représentant le sexe féminin, était utilisé pendant la fête des Lémuriales à Rome. Le Pater Familias exorcisait les Morts Malfaisants, tout en faisant le tour de la maison à pieds nus et en jetant par-dessus son épaulke, des fêves noires – nourriture des morts. Le reste de la maisonnée faisait grand bruit en frappant des casseroles.